le Belvédère des Beaux Monts

La première carte localise de façon précise l'emplacement du carrefour. La seconde carte représente une vue aussi large que possible de la forêt de Compiègne avec le carrefour concerné. La seule condition est que ce soit lisible.

La troisième carte représente tous les carrefours de la série "les Beaux Monts" (rayés en rouge) qui seront présentés dans ce dossier. Pour les carrefours rayés en bleu, ils seront présentés dans d'autres séries.

Le Belvédère des Beaux Monts, lieu emblématique de la forêt de Compiègne, est situé au Nord dans la forêt de Compiègne

Le Belvédère des Beaux Monts est à l'extrémité de l'Avenue des Beaux Monts. Le GR655 le traverse. La Route des Prés de l'Ortille le rejoint comme d'autres sentiers dessinés par l'ONF. 

Pour les photos, le matin, soleil dans le dos à partir du Belvédère et vue du Château. L'après-midi, soleil face au Belvédère et donc vue de l'Avenue des Beaux Monts à partir du Château ... Et ciel blanc si pas de soleil ...

A quelques dizaines de mètres se situe le Chêne des Beaux Monts, un arbre remarquable (photos).

Le Belvédère des Beaux Monts est proche du carrefour du Tréan.

J'ai traversé ce carrefour notamment lors de la randonnée suivante:

5_08_2017_les Beaux Monts_carrefours du Liban et du Précipice de l'Ortille

d'après René Mouton (la forêt de Compiègne de A à Z, édition A+B et http://foretdecompiegne.free.fr/sommairebis.html )

"La grande avenue des Beaux-monts, d'une largeur de 60 mètres et d'une longueur de 6 kilomètres, fut commencée en 1810, sous Napoléon 1er qui se proposait de faire élever un temple de la Gloire au sommet de la butte. Elle fut continuée en 1853, par ordre de Napoléon III jusqu'au Vivier Frère Robert (1859, d'après A. de la Rue, chargé de la réalisation). Ce tronçon, qui n'avait jamais été entretenu, disparaissait sous la végétation. Il fut déboisé à nouveau vers 1950, M. Mesnil étant ingénieur. Délaissé depuis, il se confond à nouveau avec la forêt avoisinante. Du sommet de l'avenue (alt. 122 m) on domine largement l'horizon et le château de Compiègne apparaît à l'arrière-plan. Saint-Ogan écrit à ce sujet : « On nous permettra de trouver l'idée assez malheureuse. L'effet était, croyons-nous, beaucoup plus agréable et plus pittoresque quand la vaste pelouse du parc se terminait par un fond de verdures étagées, que couronnait le massif de futaies des Beaux-Monts. L'oeil, à présent n'a plus où se reposer : il se perd entre deux lignes d'arbres qui fuient dans un horizon auquel leur alignement ôte de la profondeur et n'aperçoit, au loin, qu'une maigre colline dénudée ». "

pour les cartes: © IGN - 2019